Le Programme

Le salon ouvrira ses portes à 15h. L’ensemble des exposants vous accueilleront.

Conférence par Sylvain Blassel, harpiste et arrangeur.

Sylvain Blassel nous parlera de son travail de transcription de la Symphonie Eroïca de Beethoven pour harpe, flûte, violon, alto et violoncelle.

L’oeuvre sera donnée le soir même.

Présentation de la CSFI

avec Rachid Brahim Djelloul, Kengo Saito, Yousef Zayed, Sebastian Quezada, Bakary Diarra, Marine Perez, Sylvain Blassel, Laurence Huc, Natacha Rogers, Aude Pubels, Syrielle Guignard

Nous vous avons préparé un concert exceptionnel, au milieu des usines Mersen, à deux pas du salon CantoMundi. Vous voyagerez autant par les musiques proposées que par le cadre insolite. Chaque point d’écoute vous réservera une surprise…

avec Rachid Brahim Djelloul, Kengo Saito, Yousef Zayed, Sebastian Quezada, Bakary Diarra, Marine Perez, Sylvain Blassel, Laurence Huc, Natacha Rogers, Aude Pubels, Syrielle Guignard

Nous vous avons préparé un concert exceptionnel, au milieu des usines Mersen, à deux pas du salon CantoMundi. Vous voyagerez autant par les musiques proposées que par le cadre insolite. Chaque point d’écoute vous réservera une surprise…

Sylvain Blassel, arrangeur

Sylvain Blassel, harpe
Marine Perez, flûte
Noëmi Schindler, violon
Alain Pégeot, alto
François Poly, violoncelle

Le souffle héroïque et l’ambition inédite de la 3e symphonie de Beethoven marquent un tournant décisif dans l’histoire de la musique.

Jouée sur instruments historiques, cette version de chambre nous plonge au cœur de la symphonie, offrant une dimension nouvelle à sa fougue et à son énergie dramatique.

L’ensemble des exposants de CantoMundi vous accueilleront de 10h à 19h.

par Jean-Noël Catrice

FLÛTISTES DES PRÉS ET DES CHEMINS
Une promenade dans l’iconographie de la flûte à bec.

A un moment ou à un autre, tout berger, faune ou Muse, le dieu Mercure et jusqu’à Apollon lui-même, ont joué de la flûte à bec, et presque toujours en plein-air. Quant aux musiciens de rue, mendiants ou colporteurs, ils témoignent de l’existence d’une flûte des chemins.
Selon les circonstances ces différents flûtistes symbolisent l’innocence ou la tromperie, la mort ou la naissance, la danse, la méditation face à la nature ou, tout simplement, la Musique.

Flûtiste et enseignant, Jean-Noël Catrice nous invite à découvrir toutes ces allégories lors de cette projection commentée.

Flûtiste des près et des chemins

par la CSFI

par Éric Lourme, luthier

par Jean-Philippe Echard, conservateur

l’atelier est proposé par une équipe de la Philharmonie de Paris

Placés en deux groupes de dix autour de deux embaire, les participants jouent les différentes parties mélodico-rythmiques d’une pièce simple. Le reste du groupe les accompagne avec des tambours ou des hochets, et tous apprennent le chant associé à la pièce instrumentale travaillée.

Jérôme Hantaï, piano
Noëmi Schindler, violon

Le piano anonyme allemand joué pour ce concert a été construit à la fin du 18° s. dans l’esprit des instruments de Johann Andreas Stein (1728 – 1792), un facteur pour lequel Mozartava it une grande admiration. L’étendue du clavier, comme sur les grands clavecins contemporains, ne dépasse pas cinq octaves, ce qui reste la norme jusqu’à la fin du siècle sauf sur certains pianos anglais, que Haydn a pu connaître à Londres (dans le finale de sa dernière sonate, il demande deux notes aiguës supplémentaires). Sa sonate en mi bémol a été publiée en 1780 comme opus 30, dans un recueil qui porte l’indication « per il Clavicembalo o Forte Piano ». En dehors des considérations commerciales_bien des amateurs possédaient encore un clavecin_ il est tout à fait possible de jouer cette sonate sur le « clavicembalo ».

La grande sonate avec violon en si bémol de Mozart date quant à elle de 1784. Elle a été écrite à l’occasion d’un concert de la violoniste Regina Strinasacchi en présence de l’empereur Joseph II, fort surpris que le compositeur joue sur la partie de violon, n’ayant pas eu le temps de noter le reste…

organisé par le Centre de Musique Baroque de Versailles

par Peter Nahon, chercheur du CNRS au CMBV

par la CSFI avec UNFI, GLAAF et ALADFI

Ensemble de flûtes à bec
dirigé par Jean-Noël Catrice

Le choeur de flûtes à bec Concerto di Flauti vous propose un petit concert constitué de musiques baroques (Albinoni, Purcell), et de musiques moins anciennes : Joe Hitashi (« Mon voisin Totoro ») et « Smoke Gets in Your Eyes » de Jerome Kern.

Nous sommes basés à Bourg-la-Reine, en banlieue parisienne, où nous répétons chaque jeudi sous la direction due Jean-Noël Catrice.

Pour nous joindre :
concertodif@gmail.com
ou 06 75 35 18 71.

par Michèle Kaerr

Depuis plus de 10 ans, je fais partie des conteuses bénévoles de la compagnie du Temps de vivre, compagnie de Contes et des Arts du récit, créée à Colombes par Rachid Akbal. On nous appelle les chouettes conteuses. Je suis les stages organisés chaque année par la compagnie. Je raconte dans les médiathèques, les centres de loisirs, les écoles et également pour les adultes, à Colombes et aussi plus récemment à la médiathèque François Rabelais de Gennevilliers. J’ai raconté aussi à la dernière édition de Canto Mundi en 2024.

C’est un grand plaisir de raconter pour un public qui a besoin d’écouter des histoires, de partir dans l’imaginaire, de suivre les aventures d’un personnage qui affronte des situations difficiles et réussit à s’en sortir. Aimant beaucoup la musique et faisant partie de la chorale méditerranéenne du Conservatoire Edgar Varèse de Gennevilliers, c’est important pour moi de raconter et faire découvrir des contes du monde entier sur les instruments et sur la joie que donne la musique.

par Annie Couture, Maître à danser

Venez vous préparer pour le bal du soir.

par Peter Nahon, (CESR-CMBV)

l’atelier est proposé par une équipe de la Philharmonie de Paris

Placés en deux groupes de dix autour de deux embaire, les participants jouent les différentes parties mélodico-rythmiques d’une pièce simple. Le reste du groupe les accompagne avec des tambours ou des hochets, et tous apprennent le chant associé à la pièce instrumentale travaillée.

par Véronique Musson-Gonneaud, doctorante, Sorbonne-Université

Nima, setar
Pouya, kamanche
Mani, ney et daf

Le Trio Khoshravesh nous fera découvrir son répertoire de musique iranienne.

Grande Jam suite aux ateliers.

Présentation de la CSFI

Laurence Huc, ney
Marie Laot, percussions et chant
Jean Wojcicki, viole d’amour
Daniel Randé, percussions

Ensemble de musiciens à géométrie variable, parcourant les terres ottomanes et arabes, sur plus de mille ans. Il s’agit de découvrir et d’aller profondément dans un répertoire. Musique vivante, mouvante, dynamique, palimpseste de siècles et de territoires.

Il y a mille ans s’agitaient comme aujourd’hui trouvères, ermites et vagabonds érudits, sur les chemins du savoirs et sur la transmission de ce qui nous révèle : la musique, le trouble, la clarté de ce qui nous fait un et tous.

D’hier à aujourd’hui, un pas, le même, et une main tendue sur le sol des sons vibrants d’Histoires. Le ney, souffle et feu. Le kânun, jeu perçant et intime. L’intériorité qui se dérobe de la viole d’amour. La percussion, à raison d’intensités. Et puis le cœur de l’humain, la voix. Instrumentarium solaire, il s’étire entre Méditerranées : médiévales rives occidentales, Constantinople ottomane, escales arabes, et l’art du taksim, prélude improvisé à tout rêve éveillé.

Annie Couture, vielle à roue et Maître à danser
Frédéric Malmasson, cornet à bouquin, Zarb
Sébastien Clément, bombo

L’ensemble des exposants de CantoMundi vous accueilleront de 10h à 18h.

par Louise Condi, Sorbonne Université

Répertoires sympathiques

Caractéristiques musicales et acoustiques des instruments à cordes sympathiques dans l’Europe du XVIIè et XVIIIè siècle.

par Jerôme Cler, ethnomusicologue

par Jerôme Cler, ethnomusicologue

Ritournelles de l’arrière pays
Musique et ethnograhie de la Turquie rurale

par Mathieu Dupont, Sorbonne Université

par Fritz Heller
avec la collaboration de
Julian Rincon et Felipe Jones

La venue du basson au 17^ème siècle a déterminé pour des centaines d’années l’instrumentation des parties graves dans les orchestres.
Dans les ensembles du 16^ème siècle et début du 17^ème on trouve plutôt une grande variété d’instruments graves à anche double.
Dans une conférence-concert on vous propose de présenter des copies de ces spécimens qui ont contribué à la richesse du son dans les ensembles de leur temps :
Basse et grande basse de bombarde, Bassons Renaissance (doulcianes) à la quarte, quinte, octave
Bassanelli
Dolcaïna, basse de hautbois de Poitou.
Finalement il faut mentionner les instruments qui ont gardé leurs places dans les orchestres baroques : Choristfagott, doulciane à la quarte, quinte et bombardo grosso.

par Fumie Hihara

Nous entendrons deux instruments traditionnels japonais : le shamisen et le koto

avec Alain Pégeot, violon
Noëmi Schindler, violon
Liv Heym, violon
Jean-Christophe Marq, violoncelle
Hélène Dufour, clavecin

L’Italie baroque a célébré le violon comme l’instrument idéal pour exprimer les passions. Il allie le chant, la chaleur, la virtuosité, si chers aux compositeurs italiens des XVIIème et XVIIIème siècles.

Vous entendrez des sonates pour un violon, deux violons ou trois violons, toujours soutenus par une basse continue, provenant d’une myriade de musiciens : Veracini, Geminiani, Platti, Corelli, Vivaldi, Locatelli, Buonamente,…